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C'est la seringue de ma vie
Elle m'a offert son poison
Et son envie de m'anéantir
C'est la femme fatale qui
A detruit ma passion
Je suis prête à te detruire.Dans mes veines bien plus
D'espoir que de desinvolture
Dans ma tete tellement belle
L'idée du monde si réel
Et pour unique torture
Celle de t'oublier et surement plusJ'ai fini cette immature cure
D'un toxique mélange
De vie de mort et de sang
Qui a voulu que je me tue
En ado qui se cherche pourtant
J'ai fuis mon gardien, mon ange.En objet de detresse immaculée:
Les cachetons de la société
Les hommes en blanc ont entendus
Mon coeur qui a crié, perdu
Et ma tête toute prête à exploser
Et mon être, lui aussi, tout entierJe ne me donnerai pas à la vie
C'est à jamais, oui, à jamais promi
Je n'offrirai rien à ce (ceux) qui
M'offre(ent) la mort et l'abandon
Des êtres que j'ai tant aimé
Qui pour moi ont tout étéA vous, à moi, je suis sur
De vouloir vider mon esprit
Des idées noires qui l'envahirent
Et l'aimèrent à en mourir
De vous à moi, je vous en pris
Ecoutez ce que j'ai à vous direRester là près de ma moisisure
Tellement laide, qui va s'enfuir
Devant l'épouventail de mon envie
D'en finir pour toute la vie
Avec cette immonde fissurePour la vie je dis non, à la mort lente et abondante...
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Épique affrontement de deux âmes solennelles
Qui s'unissent dans la peur de ne faire plus qu'une
Merveille, qui brille enfin, mon étoile et ma Lune
A l'apogée d'un rêve qui n'a de cesse d'être réelSympathique horizon qui s'offre à nos regards muets
Éperdus de ce trop plein de sentiment si majeurs
Mythique cet amour rapide comme une poudre éparpillée
D'un tonneaux de bonheur qui explose dans nos cœursCoup de foudre, un instant, me dis, un magique oui
Et pour un moment encore se glisse dans le manteau
D'un majestueux oiseau qui s'est glissé dans ma vie
Pour enfin me donner le courage d'avancer tête hautePour lui, je serais poussière d'étoile
Je me poserai sur sa Lune
Et m'y endormirai...Pour lui, je tomberai du haut de mes songes
Je rejoindrai les siens
Et les aimerai...
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Je ne sais pas comment te dire
Ces choses là qui sont trop froides
Je ne sais pas quel avenir
Nous offriront ces discours en boîteCes écrans de l'immonde modernité
qui n'aboutissent qu'à la déchirure
Et ces touches qu'on a trop frapper
Pour s'isoler dans une fausse solitudeJe ne sais pas comment te dire
Les choses qu'on ne pense jamais
Quand un amour naît pour vivre
Et dont on fait le deuil désormaisToutes ces choses si sinistres
Dans mon âme qui se meurt
D'être là pour l'homme invisible
Qui à chaque tournant pleureJe ne saurais jamais te dire
Les maux qui m'assaillent là
Ni les peurs qui m'enivrent
Et le doute qui ne ment pasJe ne sais pas dire ces choses
Qui pourtant m'inondent le cœur
Si mes doigts te toucher n'osent
C'est qu'il leur est arriver malheurIls ne tremblent plus au son de ta voix
Car de son il n'y a maintenant plus
Ils ne te donneront pas d'émoi
Car de couple il n'y a jamais euCette distance entre nos corps
Et cette manie d'aimer l'impossible
On fait de moi une âme morte
Qui veut revivre loin de ceciOublier les pleurs d'un homme
Qui n'a jamais tarie mes larmes
Cloîtrer mes pensées, manger la pomme
Et devenir un souvenir sans charmeMon cœur t'est toujours ouvert
Mais surtout pas de corps à corps
Je voudrais faire de toi mon frère
Ou bien ma sœur peu m'importeEntre nous trop de barrières
Offrent un dilemme aux sentiments
Et je n'ai pas la force nécessaire
Pour m'accrocher à du néantJe ne saurais décidément pas dire
L'aveu qui brûle mes lèvres
Je n'ai jamais été douée pour lire
Entre les lignes de tes poèmesJe veux vivre avec toi un mot
Qu'on appel amitié, aussi tendre
Et juste pouvoir encore guérir tes maux
Sans faussement espérer t'attendre
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Miséreux abondants de souvenirs trop pâles
Affreux torturés par des mains trop bellesJoueurs, cartes en mains, près à vivre le grand jeu
Paresseux, voulant trop, mais ne donnant jamais rienMagiciens, avec des mots, tout ce qu'il y a de plus beau
Sorciers, trop doués, et pour vous et pour d'autresIncompatibles à un cœur, à sa raison d'être et de dire
Ignorants les blessures, des cœurs purs, comme le votreSaoulant sa panse, d'une ivresse trop impétueuse
Balançant, dans son corps les pires coups malheureuxAimant, bien trop fort l'amante d'un soir
Étouffant, de leurs liens, les jours d'une histoireLes amours impensables, sont nombreux sachez le
Offrant l'or mais ouvrant une faille en premier lieuPour à jamais marquer de fer rouge, votre silencieuse vie
Et marcher sur vos rêves qu'ils ont fait naître si doux...
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Temple adoré de parfums enchantant
Colonnes schizophréniées du retour enivrant
Des oiseaux de malheur
Qui peuplent avec ardeur
Leurs robustes chapiteaux
Tout ornés de rameauxSur l'allée parsemée d'immondices naturels
La nature a semé son estomac frêle
Mauvaises herbes aux senteurs
Qui effrayent jusqu'aux vapeurs
D'une eaux malicieuse
Source claire et rieusePollué, l'édifice se repaît de prières
De fidèles venus pour e salut des pierres
Les oiseaux de leurs nids
Balancent des brindilles
Sur le moine pervers
Venu dire son pater.
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