" Je ne sais pas où je vais mais j'y vais la tête la première "

Je ne sais plus où, exactement, j'ai entendu cette phrase, mais elle me correspond bien pour le moment...

Je tourne le dos à ce que j'aime et ça me revient en pleine tête... Cette tête pleine de doutes... Où alors suis-je si faible que je cède aux avances?

Non... Georges ton rêve était sans doute bien prémonitoire, et moi j'avais sans doute besoin de tout remettre en question... Et mine de rien, ça fait un bien fou...

Et même si aujourd'hui je ne suis pas encore certaine de ce qui arrivera demain, une chose est sûr : j'étais son ange et je ne veux pas qu'il me coupe les ailes...

 

 

Une page se tourne, sur ces maux...

 

 

Une autre s'écrit à partir d'aujourd'hui...

 

C'est dans les atous de ta voix,
Qu'avec amour et determination,
J'ai trouvé la force et ma voie,
Mon amour et ma passion.

C'est avec du vent dans mon paysage
Que la beauté de tes mots m'est apparue.
Quand mon coeur est sur un nuage,
De barrière et d'arme il est dépourvu.

Ce n'est pas dans de futiles bagarres que l'on trouvera
La solution à l'addition qui nous a unis.
Ce chiffre merveilleux qui a fait de toi et moi,
Deux âmes aux destins à accomplir

C'est dans les atous de ta voix
Que j'ai trouvé la force et l'amour.
C'est dans le soleil de tes yeux
Que j'ai connu l'émoi.
Et c'est en allant dans les cieux,
Dire bonjour aux anges avec toi,
Que j'ai enfin envie de dire "pour toujours".

"Pour toujours"... tu sais... "Mon amour"...
Ce n'est pas peu dire... Il ne faut pas fuire...

Dis moi, si on allait danser?
Tournoyer joliement
Sous notre étoile.
Car, tu sais, nous,
On a la plus grosse.
Et c'est devant elle
Que je pris mon seul Dieu
Ma religion, et mon messi.

Mon amour, c'est toi que je veux...

Hey toi, si tu me disait ces mots?
Regarder amoureux
La lune de mes yeux.
Car, tu sais, cette étoile,
La plus grosse,
C'est elle qui est là
Au fond de mes yeux.

Mon coeur, c'est toi que je veux...

Au nom de je ne sais quel
Saint Esprit
Je benis le chiffre
Qui nous a unis
L'addition merveilleuse
Qui m'a faite heureuse.

Même si, j'ai rêvé
Qu'un jour on serait trois,
J'ai vogué amoureusement
Dans ta vie
Et ça, ça n'a pas de prix...

Au nom de je ne sais quel
Saint Espoir
Je maudis la vie
Qui nous a désunis
La soustraction salée
Qui m'a lachement jetée.

Même si, j'ai rêvé
Qu'un jour on serait trois,
Je suis heureuse d'avoir aimé
Dans tes bras
Et ça, ça ne s'oublie pas.