• J'suis pas une fille talons hauts, Longchamp, Vogue, Metropolitan, Sex and the city et Guetta. J'suis née au milieu des vinyles de Queen, Brel, The Doors et Ferré. j'ai lu Aragon Rimbaud Verlaine Duras... pendant que certains croyaient que savoir parler d'amour était inné. Je m'habille comme ça me plait sans chercher à ressembler à une poupée lipoaspirée. J'aime les pizzas et le mc do sans compter les calories. Je suis sensible et n'ai pas peur de le montrer parce que ça ne fait pas de moi une pleurnicharde mais juste un être humain avec un vrai cœur et tout le branchement physique et métaphysique qui va avec. Je suis altruiste, déteste réclamer et ne suis pas une fille à papa (puisque je n'en ai pas eu). Je suis pas riche mais quand je dépense ce n'est pas pour être dans le coup mais pour de la déco, des livres et des plantes. Aimer jardiner et la nature ne fait pas de moi une quinquagénaire avant l'heure. J'aime retaper des trucs, chiner, le bricolage me fait pas peur, ni de me casser un ongle. Je les ronge de toute façon, c'est pas classe mais je m'en fous. Je fume comme un pompier, parfois un peu moins. Quand j'essaye de m'arrêter je passe aux roulées comme si ca changeait tout. J'avais deux choix dans la vie : faire de l'art ou aider les autres. Faut vivre alors j'ai choisi d'aider les autres avec un salaire petit mais qui me nourri et me loge. Je fais des dessins que je ne fini pas mais je m'en fou c'est moi qui décide quand je m'arrête. Parce que j'aime bien contrôler. Je fais de la photo mais je tourne en rond et on me tourne le dos parce que j'ai jamais d'inspiration. Il m'arrive de jouer à des jeux de baston type Soulcalibur que les filles de mon age ne connaissent pas, elles, pendant ce temps, elles étaient en pleine french manucure. Je bois pas parce que je suis migraineuse. Mais j'ai eu mon compte de tête dans le caniveau. J'aime pas les boites de nuit. Ça ressemble plus à une réunion meetic qui aurait mal tourné qu'a un endroit ou on se défoule et s'amuse. Je suis ce que je suis, j'ai mit beaucoup de temps à le devenir, à comprendre, que j'étais simplement quelqu'un. Quelqu'un d'unique et pas un mouton noir qui essaye de se faire sa place au milieu d'un troupeau de Grivettes. J'ai mon propre royaume, mes rêves, mon humour, mes délires, mes passions, mes amis, mes défauts, mes cris... Et c'est important de ne laisser personne empieter sur ce terrain et le piétiner, mais la porte est ouverte à ceux qui veulent y cueillir les roses de la vie... Sur ce, Kenavo!


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  • Ekki fara svo langt frá mér. Hjarta mitt ... Því miður fyrir grátbeiðni, en ég elska þig enn. Og í rauninni ég er enn smá von ...


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  • Stjörnu er dauður. Það sprakk. Komdu út á þúsund stykki á jörðinni, þar sem þú ert að búa einn. Taka kostur af the sýning. Það er svo fallegt að deyja stjörnu ... Er það ekki? Er ekki þess vegna sem þú drapst hann?


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  • Voir plus loin que le bout de son nez, voir a travers, au fond de soi, au plus profond des êtres, lire entre les lignes, croire en un ailleurs, aimer la vie parce que la mort ne nous fait plus peur, aimer être et être quelqu'un.


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  • Je commence à me demander si ma notion de l'amitié et de l'amour n'est pas erronée. Est ce que je dois faire comme tout le monde: "aimer" les gens pour ce qu'ils nous apportent, par intérêt et pas pour ce qu'ils sont?... Se dire que la remise en question c'est bon pour les autres? Faire sa vie comme si on était seul même si on est en couple? Lâcher ses amis pendant des mois et un beau jour les rappeler par nécessité en espérant que rien n'aura changé? Penser qu'aimer quelqu'un d'amour ou d'amitié c'est pouvoir lui faire les pires crasses, parce que toute façon si on nous aime on pardonne tout sinon c'est eux les cons...? C'est vraiment mort le romantisme? La sincérité? Est ce qu'avoir confiance en soi aujourd'hui c'est obligatoirement avoir un égo sur dimensionné et se croire au dessus de tout? Est ce que le concept de donner par amour ou juste pour voir l'autre sourire est définitivement enterré? Est ce qu'on doit réellement faire du bien autour de soi juste pour avoir quelque chose en retour plutôt que par pur altruisme? Est ce que mentir peut être vraiment considéré comme quelque chose de faisable avec les personnes qu'on aime? Tout comme se moquer de quelqu'un qui pleure? Ou se borner à enfoncer quelqu'un dans son malheur plutôt que de l'aider à se relever en espérant qu'en la secouant cette personne va finir par se relever seule sans qu'on s'implique et ensuite lui dire que oui, on l'a aidé..? Et si on souffre d'une situation qui concerne deux protagonistes mais dont personne n'est responsable (comme la maladie quelque soit sa forme ou son origine) est ce qu'on doit forcément trouver un coupable, le pointer du doigt, et lui donner des ultimatums pour qu'il résolve le problème seul sans s'investir personnellement même si ça nous concerne aussi? Est ce que la vie c'est choisir la facilité et refuser de se battre pour ce qui en vaut la peine juste pour ne pas se fatiguer ou pour ne pas porter de responsabilité?... Oui ça fait beaucoup de questions. Ca prouve aussi que le mot "réfléchir" fait bien parti de mon vocabulaire comme le fait de se remettre en question. Mais dans la vie nous ne sommes pas seuls, si les autres autour ne voient pas ce qu'on fait, ce qu'on est capable d'affronter seul, les sacrifices qu'on peut faire pour eux, s'ils continuent de penser qu'ils n'ont rien à se reprocher et que c'est à ceux qui ont le courage de se poser les bonnes questions, de se demander quels sont leurs torts, et d'essayer de trouver des réponses pour faire avancer les choses, de tout porter, alors non on avancera pas, on ira pas loin. Peut être même qu'on reculera... Et tout ce qu'on aura accompli. Tout ce travail sur soi même, toutes ces réponses qu'on aura trouvé pour nous donner la force de bâtir notre vie n'auront servis à rien. Et à la fin tout s'écroulera parce qu'on est dans un monde ou "aider son prochain" n'a plus de sens, où on entend les autres mais où on ne les écoute jamais, où l'égoïsme prime sur l'altruisme, où la loi du plus fort règne, y comprit dans un même foyer... Je ne sais pas si je veux de cette vie là... Existe-t-il encore des gens gentils juste pour être gentils, des gens généreux juste pour le plaisir de faire plaisir, des gens qui savent que dans un couple la remise en question est toujours nécessaire puisque qu'on évolue tous et pas dans la même direction et qu'il faut savoir se retrouver malgré tout et pas se séparer à la moindre occasion? Mais que cette remise en question n'est utile que si les deux s'y mettent? Existe-t-il encore des personnes pour qui l'esprit de famille est important, pour qui l'engagement à un sens, pour qui les promesses doivent être respectées, pour qui les excuses qu'on prononce ne sont pas là juste pour que l'orage passe plus vite mais bien pour exprimer le fait qu'on ne recommencera pas la même erreur? Existe-t-il encore des personnes pour qui l'amour signifie être capable d'aimer les défauts comme les qualités, d'aimer ce tout, et non pas de "l'accepter", de "vivre avec" ou de "le subir"? Je m'en pose des questions... Maintenant reste à savoir répondre à celle ci: Qu'est ce que je dois faire pour enfin obtenir les réponses?"... Rester ici et attendre ou partir en quête de ces personnes là?... Il va m'en falloir de la force... Merci à vous qui m'avez vampirisé, qui avez aspiré ma force, ma motivation et mon estime de soi, aujourd'hui je me sens totalement coincée...


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