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    I spend all my days to be worried about many things in my life. Nobody understand me.
    I feel exacerbated feelings.
    For people or events.
    I am what I am.
    I wish people around me loves me entirely and not for who I can be.

    I finally question me about the possibilities which I have to be really liked.

    I think that people quickly get tired of my character.

    But I don't want to change.

    Bat, will you always love me?

    Where is the future?

    What will be my life in two months?
    what will be my life when you'll leave me for a more beautiful place?

    You will not be there to celebrate our two years of couple and our birthdays.

    Egoism, selfishness, or just a S.O.S.

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    Toujours ce paradoxe :

    Enfermés dans un lieu de travail, dans une salle de classe, chez soi, dans la saveur réconfortante d'une drogue douce.

    Toujours apprendre, écouter, interroger, conseiller. Mais ne jamais pouvoir clamer sa souffrance, ne jamais pouvoir se rebeller, parler des choses négatives, ce qui nous touche profondément.

    On le dira, quand aura des migraines, un mal de dos ou une blessure au doigts. On gardera pour soi la dépression nerveuse, les larmes chaque soir, les nuits agitées, voire pas de nuits du tout, cette impossibilité de garder des choses en mémoire peut-être à cause de la fatigue peut-être pas. On gardera pour soi l'enfance malheureuse. On dira que c'est le passé, que l'on n'en souffre plus. Finis les cauchemars. Mais non ce sera faux.

    Et enfermés dans tout ça on nous dira de tout les côtés que la vie est devant soi, qu'il faut avancer, que derrière ces murs c'est la liberté tant espérée qui nous attend.

    La liberté de n'être qu'un numéro? De n'être qu'un pantin aux mains des patrons et autres hiérarchies? De se tuer à la tache toute sa vie pour la gagner modestement? "Gagner sa vie".....

    J'aime me sentir libre. Même sans réellement savoir ce que cela signifie.


    Heureusement que tu es là pour m'en donner un peu le goût.

    Ma vie âpre et stressante. je n'en peux plus... Je sais ce que je vis en ce moment, et suis la seule à le voir. Mais seuls on est bien peu.

     

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    Y'a des jours comme ça ou même les personnes les plus proches semblent tellement loin...
    Après tout, c'est peut être moi qui m'éloigne de tous.
    Lasse de cette incessante bataille contre des principes pré-établis et mal établis;
    Contre des responsabilités que je m'invente;
    Lasse de me battre contre cette absence d'envie de m'occuper de moi;
    Et cette trop grande envie d'être aimée pour ce que je suis.

    Mais qui le pourrait réellement, entièrement et durablement?...

    Il m'arrive, très franchement, de me le demander.
    J'ai un travail, une famille, un toit, l'homme de ma vie à mes côtés, des projets flous mais bel et bien présents...

    Et il m'arrive quand même, très franchement, de me le demander....

    Parce que le travail c'est pas ça.
    La famille m'apparaît parfois comme à l'aube d'un deuil, celui que l'on ne veut admettre. Une perspective qui semble m'effrayer moi et moi seule....
    Le toit n'est pas le mien et abrite ladite présente atmosphère.
    Et l'homme de ma vie, entraperçu, toujours souriant et positif semble d'un coup d'un seul par la lourdeur de mes propos ombrageux, perdre toute envie de montrer tendresse.

    Et sincèrement, il y a des jours comme ça ou même les personnes les plus proches semblent tellement loin...

    Et on se sent seul comme dans une cage trop petite pour déployée des ailes à peine développées.

    Putain j'ai tout ce qu'il me faut et ça ne me va jamais... Comme une fatalité.
    Et face à l'inéluctable, je trouve à peine le temps, nageant entre mes pensées, pour me demander :

    Mais où sont passés mes éclats de rire?



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    Je déteste du verbe haïr les personnes type « gueule d'ange » qui se croient tout permis sous prétexte qu'elles découvrent qu'elles aussi possèdent des sentiments humains amoureux. Si c'est pour laisser toute autre petite flamme d'humanité de coté à quoi cela sert-il?

    Profiter des autres, les manipuler, perdre toutes les étoiles qu'on avait dans les yeux...
    La vie, le monde, ce ne sont pas une personne.
    Et, parlant en connaissance de cause, je peux affirmer que c'est dans un climat de vérité, de confiance, d'organisation parfaite, que les histoires de cœur de 7 à 77 ans se déroulent le mieux, et pour le couple en lui-même, et pour l'entourage des deux acteurs de ce dernier.

    Et très sincèrement, si un petit mensonge ne fait pas de mal de temps en temps, si vouloir passer le plus de temps possible avec la personne qu'on aime est loin d'être une chose à blâmer, si une certaine « régression » s'opère lors des premiers mois de passion sentimentale... il n'en n'est pas moins que lorsque ces petites choses, somme toute normales, font souffrir une ou des personnes, il faut s'avoir s'imposer une remise en question. C'est ça être adulte... et amoureux qui plus est.

    Apprendre à gérer toutes ces choses n'est certes pas rien, mais parler à un mur, se prendre la violence d'un être cher dans les dents, ne plus réussir à dormir et avoir mal au ventre faute du trop-plein de stress... ça non plus ce n'est pas rien.

    Il y a des efforts à faire. Faites les. Faisons les ensemble. Mais par pitié, je ne veux plus avoir à essuyer ses larmes...



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    C'est une main posée sur une robe de dentelle,

    Sa robe de dentelle.

    Une main froide sur une si jolie robe.
    Une main fuselée,
    Presque maigre,
    Presque crochue,
    Presque inhumaine,

    Sur la robe immaculée et dentelée.
    Dent de lait. Petite robe.
    Petites dents fines cisaillant.
    Assaillantes.

    Une main comme un ciseau cranté sur la jolie robe de dentelle,
    Prête à la mordre, elle.

    C'est peut être dans ma tête la jolie robe de dentelle.
    Mon cerveau replié comme un charmant bout de tissu.
    Et les dents assaillantes, le ciseau cranté...

    ...C'est peut-être moi?



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