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    Pourquoi se courber, ne pas oser, et esperer que ca change?

    Pourquoi faire attention à tout, aux mots, aux gestes, et aux echanges...?

    Puisqu'ils sont, finalement, inexistants.

    Dans mes oreilles, des insectes bourdonnent des mot incompréhensibles.
    Je ne sais quoi percevoir, et quoi croire.
    Je ne sais pas où je vais, je suis la vague.
    La vague qui a le mal de mer, la vague qui a du vague à l'âme.
    La vague qui se laisse caresser par un épaississant brouillard.
    Et jours après jours, ca se raproche, et je ne sais quoi en penser...

    Est ce criminel?

    Oui, je veux vivre, aimer et l'être en retour.
    Mais ca me fait peur autant que j'en rêve secrètement.

    Je n'aime pas les interdits. Mais je m'interdis de souffrir!

    Je n'aime pas la haine, et je hais plus que de raison les discours incensés des personnes faibles qui se croient surpuissantes.

    Je hais tant de choses. Mais j'en aime tellement plus...

    J'aimerai le montrer. M'attacher, avoir le droit, oser.
    J'aimerai m'aventurer dans des sphères que je ne connais pas encore car elles ont toujours été trop hautes pour moi à mes yeux.
    Aujourd'hui, malgrès encore de nombreux doutes, je sais ce que je vaux et que je peux y acceder. Je sais que je suis à la hauteur.

    Que je mérite mieux...


    Mais je ne sais pas qui sera ce "mieux"...


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    Saurais-tu m'aimer telle que je suis.
    M'apprendre tout d'être une femme auprès d'un homme...

    Aurais-tu peur de moi?
    De ce que je suis... Trop semblable pour être réelle.

    Je n'ai jamais cessé de laisser mon coeur battre.

    Saurais-tu me voir, tout simplement?
    M'emerveiller du son que m'inspire ton âme...

    Des papillons dans les yeux qui papillonnent à ne plus en avoir d'ailes.
    Et des rayons de toi qui colorent mon univers.

    Une infinie douleur qui se métamorphose en nuage noir que le vent du renouveau aura bien vite emporté...

    Un éternel et effrayant sourire s'affiche sur vos têtes. Et j'aime ça.
    Les dents scintillent et moi je ris.

    Pourquoi? Parce que ca y est... J'y crois à nouveau!

    Conjuguer ces verbes et torturer la souffrance elle-même!


    TO LIVE! TO LOVE! AND EAT MAGICAL GLANCES IN THE DISH OF EXISTENCE!


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    On a la tête qui tourne et qui se décroche du reste du corps.
    On a des ailes de papillons à la place des oreilles, et des griffes animales aux doigts.


    Dans une chambre noire on s'imprime sur un négatif, on croit être floue et on aperçoit son reflet... Et dans son regard, tout n'est pas claire. Mais on y est. C'est déjà ça...


    Running in the shade
    Calling life
    Singing to have wings
    And fly...

    Shadow digs her own grave.
    Spit on the ground,
    And push you in the hole!

    I've buried my fears.
    Oh I Wish I could embrace you one day...


    On a la tête qui tourne et qui se décroche du reste du corps.
    On a des ailes de papillons à la place des oreilles, et des griffes animales aux doigts.


    Dans une chambre noire on s'imprime sur un négatif, on croit être floue et on aperçoit son reflet... Et dans son regard, tout n'est pas claire. Mais on y est. C'est déjà ça...


    I've buried my fears.
    Oh I Wish I could embrace you one day...


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    Tu regarde de la haut les êtres marcher sans y croire.
    Pourquoi la vie leur est si dure?
    Pourquoi n'en retenir que le moins bon?
    Se délécter des moindres sensations, des moindres sourires.
    Les redistribuer? Non. A quoi bon?

    Soyons égoïstes. Gardons ce changement bienheureux pour nous.
    Soyons des fous qui aiment la vie parce que sans elle nous ne pouvons rêver à mieux.
    Parce que sans elle nous ne connaîtrions pas tout cela.

    Aimons le temps qui passe. Le sang qui coule. Si cela en vaut la peine, je boirais la vie des autres pour vivre la mienne.

    Tant de choses à voir. Tant de choses à croire.

    Le temps ne s'écoule pas. Les heures sont fictives. Et ma main n'est pas posée sur la tienne.

    Ce n'est pas un rêve que je veux vivre. Je n'ai pas souffert pour vivre une fiction. Je veux du vrai, de la chaleur, de la sueur, des larmes de joies et une épaule pour pleurer.
    Souffrir pour être beau? Souffrir pour vivre enfin... La vie est belle. Tu es beau et tu vis. Je suis belle et je vis.

    On m'appellait sorcière. "Vipère" autrefois j'étais. Princesse dans tes bras je renaîtrais.

    Les cendres dont je viens sont rouges de mes douleurs passées.

    Et l'oiseau s'envole dans l'ambiance douce-amère de son monde désenchanté.
    Un monde pourri au coeur oui, mais qu'il ne peut voir avec son regard enfantin.

    Entend-tu le glas? Entend-tu les pleurs?

    Oui, c'est vrai ils sont là. Mais ils sont loin...


    Come on, life is short. I need you now!


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    C'est étrange ces sensations qui s'enchainent.
    Ces pupilles qui se croisent et qui ne semblent pas le vouloir.

    Ces instants pleins de virtuosité.
    De la sensualité rock'n'roll.
    Des râles au fond de la gorge qui aimeraient sortir et qui étouffent les émois d'un rêve fragile.

    C'est étrange ces sentiments incertains.
    Ces mains qui semblent vouloir se frôler et que la peur observe.

    Ces moments trop silencieux.
    Ces regards qui se disent tant.
    Des étoiles grandissant dans le ventre, se nourissent de la peur et d'un espoir qui se veut inavouable.



    Why is everything so fucking hard for me?


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