-
Par Meliss-art le 9 Août 2004 à 20:30
Il faut que j'aille pleurer en silence
Doucement, poser ma tête sur l'oreiller
Et fragilement laisser les larmes couler
Il faut que je vide ma corne d'abondance.Façon de dire, façon de faire, marche arrière
Moi toute seule, je me suis faite des films
Moi sans personne, j'imaginais une vie tranquille
Façon de croire, à tout, à rien, coeur de fer.Il faut partir, s'enfuir, mais pas mourir
Ne plus aimer, trop s'attacher, ça fait mal
Quand l'autre à mal, qu'on y peu rien, sage animal
J'ai pas assez tourné le dos au mot "souffrir".Manière de penser, d'aimer, d'offrir
Et ne plus jamais avouer la sensation
Celle qui tue, à petit feu, fait perdre la raison
"Folie", "Amour, "Toujours", c'est plus des choses à dire.
votre commentaire -
Par Meliss-art le 9 Août 2004 à 20:26
Sans tes mots,
Je tourne le dos
Sans ta voix,
Je perds l'émoi
Sans tes vers,
Je tombe par terre
Sans ta vie,
Qui je suis?Sans mes mots,
Tu prends du repos
Sans ma voix,
Tu perds l'éffroi
Sans mes vers,
L'ennui se terre
Sans ma vie,
Qu'est-ce que t'en dis?
1 commentaire -
Par Meliss-art le 8 Août 2004 à 18:06
Au coeur d'un abîme passager
Je plonge dans ton fort assiégéSans le savoir j'éprouve peine
Sans le vouloir ton absence m'appelleAu fond du gouffre: Solitude
J'apprend à connaître tes attitudesPartis cueillir d'autres fleurs
Réfléxions, Avenir, Bonheur...Loin de mes profondeurs saccagées
Tu as posé le doigt sur un coeur ailéÊtre sensible, aimant trop fort, toujours, encore
Être a dit "aime" à la sorcière du tortTa non présence est dégât en chaîne
Sur mon moi, la tempête se dechaîneReviens à toi, trouve force et courage
Pour toi et moi, cesse ce carnage...
1 commentaire -
Par Meliss-art le 8 Août 2004 à 18:02Depuis longtemps allongée
Mes larmes coulent au creux de mon oreille
Quand il n'y a plus ta voix qui m'émerveille
Le téléphone n'a pas sonné.
Sur un air de piano
Le livre ouvert sur une tirade romanesque
Je rêve de balcons et de conquêtes sans tristesse
La boîte est vide de tes mots.
Après la pluie futile
La fenêtre entrebaillée sur un rayon égaré
Mes larmes sèchent mais le coeur reste noué
Le soleil luit, paraît-il.
Monsieur, ami, déséspoir
Mon âme est devenue desert à abreuver
Mon être se pâme de ne plus vous trouver
Pas de nouvelle ce soir...
votre commentaire -
Par Meliss-art le 7 Août 2004 à 16:15
Fermer les yeux sur ton passé
Fermer ta vie et tes penséesOuvrir ton coeur à l'avenir
Ouvrir ta bouche pour périrFermer ton coeur pour survivre
Fermer tes poings pour poursuivreEntrevoir les paupieres livides
Entrevoir le sang impassibleClore à jamais l'agonisant regard
Clore une fois pour toute l'histoireFermer les yeux sur ton passé
Fermer ta vie et tes pensées...
2 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique